Lorsqu'on aime le cinéma, on ne peut pas se focaliser sur un genre ou une époque.
Un véritable fan de cinéma a regardé, regarde et regardera de tout dans sa vie.

Ce fan là adore les répliques cultes et  les dialogues bien enlevés.
Dans l'histoire du cinéma de nombreux personnages nous ont donnés ce genre de plaisir, voici donc quelques unes de ces perles.

BON VOYAGE AU PAYS DES RÉPLIQUES !






1)   Raymond : Ta petite amie habite un duplex au beau milieu de... La foire au fantôme.
Peter : C'est pas ma petite amie. Je m'y suis intéressé parce que c'est une cliente et qu'elle dort souvent au dessus des couvertures. Un mètre vingt au dessus des couvertures ! Elle aboie elle bave et elle griffe !

2) Gozer : Es-tu un Dieu ?
Raymond : Heu... nan !
Gozer : Alors... péris !
[Il les envoie valdinguer avec des éclairs.]
Winston : Ray ! La prochaine fois qu'on te demande si tu es un dieu, tu réponds OUI !



1)  William Wallace : Des pieux pointus, il en faut des centaines. Des longs pieux de deux fois la taille d'un homme.
Hamish Campbell : Si Longs ?
William Wallace : Ouais.
Hamish Campbell : Certains hommes sont plus longs que d'autres...
Campbell Sr. : Ta mère ne peut s'empêcher de parler de moi hein.

2)  William Wallace : Si je pliais comme il me le demande, c'est moi qui donnerais la mort à tout ce que j'aurais été.
Princesse Isabelle : Mourir ça serait abominable.
William Wallace : Tous les hommes meurent un jour... Mais peu parmi eux vivent vraiment





1)  Mitch : Tout ça ne sert à rien.
Shingleton : Hey pourquoi ?
Mitch  : Tu sais pas qu'on était à trois contre lui dans la cellule ? Il s'est débarrassé de nous comme si on était pas là.
Shingleton : Déconne pas...

2) Rambo :
J'pouvais tous les tuer. Toi aussi j'pouvais te tuer. En ville tu fais la loi, mais ici c'est moi. Alors fait pas chier. Me fait pas chier ou j'te ferais une guerre comme t'en a jamais vu ! Laisse tomber. Laisse tomber...

3) Trautman : Vous ne voulez pas accepter le fait que vous êtes en face d'un expert dans la guerre d'embuscade. D'un homme qui est le meilleur au fusil, au couteau ou à mains nues. Un homme qui a appris à ignorer toutes les souffrances. À ignorer le temps ! À vivre sur le terrain, à manger des choses qui feraient vomir un bouc ! Au Vietnam sa mission était de faire ce qu'il voulait de l'ennemi, de tuer ! Quoi qu'il arrive ! De gagner par l'usure ! Pour ça Rambo était le meilleur.

4) Trautman : Mais tout les hommes qui le poursuivront se feront tuer !
Teasle : Oh vous savez on est juste la police locale d'une petite ville de campagne colonel mais on nous demande de faire notre devoir tout comme les héros de vos forces spéciales !
Trautman : Dans les forces spéciales nos gens apprennent d'abord que leur devoir est de rester vivant.
Teasle : Oh merde j'avais jamais pensé à ça !
Trautman : Vous voulez une guerre que vous allez perdre ?
Teasle : Vous voulez me faire croire que deux cent hommes contre votre poulain colonel c'est une situation perdue d'avance ?!
Trautman : Si vous lancez vos hommes n'oubliez pas une chose.
Teasle : Quoi ?!
Trautman : Réservez dès maintenant leur place à la morgue.

5)  Rambo [sanglotant] : Dans cette baraque où on était y'a un gosse qui c'est pointé. Ce gosse il avait une boite pour cirer les pompes il a dit "chaussures s'vous plait, chaussures". Moi j'ai dit non, puis il a continué à demander alors Joe il a dit oui. J'suis allé chercher deux p'tites bières et la boite et piégée, il ouvre la boite, son corps explose en morceau dans toute la pièce. Il est étendu il hurle à la mort j'ai des bout de chair partout sur moi comme ça ! J'ai du enlever les morceaux vous savez ! Ma veste était couverte des restes de mon ami ! Du sang et tout j'essaye de remettre tout en place ! Et son ventre s'ouvre et ses entrailles me tombe dessus ! Et y'avait personne pour nous aider ! J'étais perdu et il s'est mi à crier "j'veux rentrer chez moi, j'veux rentrer chez moi !" il s'arrêtais plus de crier "j'veux rentrer chez moi ! j'veux conduire ma Chevrolet 58 !" il arrivait pas à trouver ses jambes. Il arrive pas à trouver ses jambes. J'peux pas sortir ça de ma tête. Ça fait pourtant septs ans ! Chaque jour j'y pense... J'me reveille j'sais plus ou je suis... J'parle plus a personne. Dès fois toute une journée... toute une semaine. J'arrive... ma tête...

6) teasle : - nous l'avons repéré, votre poulain est fait comme un rat colonel!
  trautman : repéré?...c'est envoyé les agneaux au loup!
  teasle (tout bas) - fils de pute!





1)   Vos amis ont un important taux de mortalité.
Il était une fois dans l'ouest, Harmonica.

2) - J'ai vu trois de ces caches poussières toute à l'heure, ils attendaient un train. Il y avait trois hommes à l'intérieur des cache poussière...
- Alors ?
- À l'intérieur des hommes, il y avait trois balles.
Il était une fois dans l'ouest, L'harmonica, Cheyenne.

3)    Il joue de l'harmonica... Et il joue aussi de la gâchette.

4) Il joue de l'harmonica quand il devrait parler, et il parle quand il ferait mieux de jouer.

5) - Vous avez amené un cheval pour moi ?
- Bah, question chevaux, on est un peu justes, on s'excuse !
- J'en vois deux qui ne sont à personne... (baoum! baoum!)


6) La récompense pour la capture de cet homme est de 5000 dollars.
- Un certain Judas a trouvé que 30 dollars c'était tout à fait suffisant...
- Y avait pas de dollars à cette époque-là.
- Mais des fils de putes ça y en avait...

7)
- chevenne : ça fait des milliers de dollars, et meme des milliers de milliers!
- l'harmonica : ça s'appelle des millions!



1)    Homme : [Au Truand] Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars ?
Le Bon : Oui… mais toi tu n’as pas la tête de celui qui les encaissera...

2)   Le Bon : Tu sais combien tu vaux maintenant ?
Le Truand : Non combien ?
Le Bon : 3000$
Le Truand : Le monde se divise en deux catégories mon ami, ceux qui ont la corde au cou et ceux qui la leur coupe. Oui, seulement, la corde au cou, c'est moi et je risque gros, c'est pourquoi la prochaine fois je veux plus de la moitié.
Le Bon : Hum, hum, oui tu as la corde au cou mais moi je tire et si tu me rognes mon pourcentage, qui sait... Il peut arriver que je rate mon coup.
Le Truand : Hum, mais si tu manques la corde, ne manques pas le pendu, celui qui me fait une entourloupette et me laisse la vie sauve, c'est qu'il n'a rien compris à seigneur Tuco, ahah, non rien...


3)  Le Truand : Le monde se divise en deux catégories, ceux qui passent par la porte [il fait le signe de croix] et ceux qui passent par la fenêtre, et moi je passe par la fenêtre

4)  Le Bon : Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent... Toi tu creuses..


1)     
Doc : C'était la rase campagne ici... C'est le vieux Pibody qui possédait toutes les terres... Et sa seule ambition était de... faire pousser des pins

2)
[Marty émerge de son sommeil]
Marty : Maman... C'est toi ?
Lorraine : Doucement... Calme toi... Tu as dormi presque 9 heures.
Marty : Oh ouais.. Quel horrible cauchemar... J'ai rêvé que je... Je voyageais dans le passé. C'était affreux.
Lorraine : C'est fini, il n'y a plus rien à craindre, nous voilà revenus en cette bonne vieille année 1955.
Marty : En 1955 ?!!

3)
Marty : Pierre, et pourquoi vous m'appelez toujours Pierre ?
Lorraine : Pierre Cardin ! C'est marqué sur tous vos sous-vêtements !
[Plus tard, en parlant du jean de Marty]
Lorraine : je l'ai mis là, sur mon journal intime...

4)
Doc : 2,21 Gigowatts ! 2,21 Gigowatts !!! Mon dieu !!
Marty : Mais enfin, c'est quoi un Gigowatt ??

5)
Marty : Oh dur c'est pas le pied !
Doc : Encore ? Mais qu'est-ce que c'est que ces histoires de pieds ? Les pieds seraient le point sensible des hommes du futur ? C'est peut-être dû à un accroissement de la pesanteur.

6)
Marty : Mais écoute! Tu seras pas obligé de te battre Papa!...euh Papa..Papa..Papi..Papo...

7) Marty : Attendez doc, vous voulez dire que vous avez construit une machine à voyager dans le temps... à partir d'une Delorean ?
Doc : 'Faut voir grand dans la vie ! Quitte à construire une machine à partir d' une voiture autant en prendre une qui a de la gueule !

8) doc : 88 miles à l'heure !

Doc : Si mes calculs sont exacts, lorsque ce petit bolide atteindra 88 miles à l'heure, attends-toi à voir quelque chose qui décoiffe...

9) George (Jeune) : Oh là là mais qu'est-ce que j'vais lui dire moi ?!
Marty : Je sais pas, tu lui dis c'que tu veux, sois naturel, dis-lui la première chose qui te passe par la tête !
George (Jeune) : Y'a absolument rien qui m'passe par la tête !
Marty : Oh c'que t'es nouille, c'est à se demander comment j'suis v'nu au monde...

10) Doc : La route? Là ou on va, on a pas besoin... de route...




1
Doc : Tu excuseras ce déguisement, mais j'ai eu peur que tu n'me reconnaisses pas. Je suis allé dans une clinique de rajeunissement et ils m'ont fait une révision complète ! Ils ont enlevé quelques rides, implanté des cheveux, ils ont changé mon sang, et ils m'ont ajouté 30 ou 40 ans d'espérance de vie ! Et ils m'ont changé les intestins et la rate !

2
Doc : Marty ! Je n'ai pas inventé la machine à voyager dans le temps dans un but lucratif ! Mon but c'est d'élargir notre perception de l'humanité ! D'où nous venons, où nous allons. Les soubresauts, et les péripéties ! Les périls, et les promesses ! Peut-être même trouver une réponse à cette éternelle question... Pourquoi ?

3
Marty vieux : T'es un chef maman, personne n'hydrate une pizza comme toi !


4
Needles : A moins que tu aies envie que tout le monde au boulot dise que tu es une mauviette...
Marty vieux : Personne... Ne me traîte de mauviette, Needles, personne !

5
Doc : Les voyages dans le temps sont beaucoup trop dangereux. Mieux vaut que je me consacre à l'étude de l'autre grand mystère de l'univers... Les femmes...

6
Marty : C'est ma faute ! Tout ce qui arrive c'est ma faute ! Si j'avais pas acheté ce sale bouquin ! On serait jamais tombés dans ce pétrin !
Doc : Tout ça c'est du passé...
Marty : Du futur vous voulez dire !
Doc : Si tu préfères !


7
Biff jeune : T'auras l'honneur de sortir avec le plus beau gosse de tout le lycée.
Lorraine jeune : J'ai autre chose à faire !
Biff jeune : Ah ouais c'est quoi ?
Lorraine jeune : Me laver la tête !
Biff jeune : C'est aussi marrant qu'un toit ouvrant sur un porte-avions !
Marty : [Caché] Un toit ouvrant sur un sous-marin gros taré...

8
Biff vieux : Tu vois ce livre ? Ce livre prédit l'avenir. Il contient tous les résultats de tous les évènements sportifs jusqu'à la fin du siècle. Football, Baseball, courses de chevaux, boxe... Les renseignements qu'il donne valent des millions de Dollars, et j'te l'donne.
Biff jeune : Ah ouais, c'est bien gentil tout ça. J'te remercie beaucoup, mais maintenant tu fais comme dans l'infanterie, et tu te casses ailleurs.
Biff vieux : [Met une claque derrière la tête de son double jeune] Tu te tires ailleurs ! Triple buse ! Tu fais comme dans l'infanterie et tu te tires ailleurs !!! T'as l'air d'un demeuré quand tu dis ça !


9
Doc : Nom de Zeus ! Il se pourrait que Jennifer entre en contact avec son soi futur ! Les conséquences en seraient catastrophiques !
Marty : Doc, que voulez-vous dire ?
Doc : J'entrevois deux possibilités. Primo, se trouver nez à nez avec elle-même plus vieille de 30 ans la traumatiserait et elle tomberait dans les pommes. Secundo, cette rencontre créerait un paradoxe temporel dont l'issue engendrerait une réaction en chaîne qui pourrait déchirer le tissu même du continuum espace-temps, provoquant la destruction totale de l'univers ! Hypothèse la plus pessimiste, je te l'accorde. Le cataclysme pourrait être plus localisé et affecter uniquement notre galaxie.
Marty : Ah... J'suis presque rassuré




1) Je pense que vous serez bien dans la grange... en tout cas les porcs se sont jamais plaint.

2)  - Qu'est-ce que tu bois étranger ?
- Euh... Je vais prendre... un verre d'eau glacé !
- De l'eau ? Si tu veux boire de l'eau tu vas te plonger la tête dans l'abreuvoir des chevaux, dehors. Ici les verres on les remplit de whisky !

3)  -Comment avez-vous pu venir dans ce coin perdu sans cheval, ni bottes ni chapeau ?
-Ben... ma voiture euh... mon cheval est tombé en panne, un ours a mangé mes bottes et le chapeau je l'ai oublié, voilà.

4)  - Pas étonnant que ça tombe en panne, y a marqué "made in Japan".
- Mais enfin Doc... tout les meilleurs trucs sont fabriqués au Japon !
- C'est pas croyable...

5)  - Est-ce qu'ici y a une porte de derrière ?
- Oui là-bas derrière.

6)  - Je peux savoir votre nom ?
- Heu... Mc... Heu... Eastwood... Heu... Clint, Clint Eastwood.
Biff : Qu'est-ce que c'est que ce nom à la mords moi l'noeil


7) Biff : Molosse? Personne m'appelle Molosse! Encore moins une mouche à merde déguisée en arbre de Noël !


8)  Ça peut abattre une puce dans le dos d'un chien à 500 mètres, Tannen ! Et c'est pointé droit sur ta tête !



(l'ensemble des films de la saga)

1
Les opinions c'est comme les trous du cul,tout le monde en a un.

2
Gonzales : pourquoi ils vous appellent harry le charognard?
De Georgio : À cause d'un trait de caractère de notre ami : il n'a pas de préférences. Il déteste tout le monde : les juifs, les métèques, les englishs, les irlandais, les négros, les chinetoques, les japs...Faites vot'choix.
Gonzales : Et qu'est-ce qu'il pense des mexicains ?
De Georgio : Il va vous le dire.
Callahan : Les pires de tous les métèques.

3
Callahan : Quand je vois un adulte du sexe masculin courir derrière une femelle avec l'intention évidente de la violer, je le descends avant. C'est ma politique.
Le maire : L'intention ? Elle restait à établir.
Callahan : Quand un gars à poil court derrière une fille la queue en l'air et un couteau de boucher à la main, c'est drôle...j'ai peine à croire qu'il est en train de quêter pour la Croix Rouge

4
Je sais ce que tu te demandes: ” est-ce qu'il a tiré six coups ou cinq seulement”. Je dois avouer que dans tout ce merdier j'ai pas très bien compté non plus. Mais c'est un 44 Magnum, le soufflant le plus puissant du monde, un calibre à vous arracher toute la cervelle.
Alors tu n'as qu'une question à te poser: ” je tente ma chance ou pas ?”. Alors, tu la tentes ou pas ?

5)
(Callahan est forcé de rendre son insigne au capitaine et il est furieux)

tenez! ça va vous faire un suppositoire à 7 branches...j'ai dis collez-vous l'étoile dans le cul!

6)
(un jeune voyou se trouve dans le même ascenseur que Harry et se met à se moquer de lui, harry le chope donc par la chemise et le place sous son nez)

 - écoute... pouilleux!  pour moi tu n'es qu'une merde de chien qui s'étale sur un trottoir et tu sais ce qu'on fait d'une merde de ce genre ? on peut l'enlever soigneusement avec une pelle, on peut laisser la pluie et le vent la balayer ou bien on peut l'écraser alors si tu veux un conseil d'ami choisi bien l'endroit où tu chieras!

7)
(dans un bar, Harry se retrouve devant l'un des braqueur qui tente de l'intimider)

 - qu'est ce que tu fous là espèce de trou du cul?

- tous les jours depuis une dizaine d'années mon amie loretta me sert un grand café noir sans sucre, aujourd'hui elle m'a bien servie un café noir mais il était horriblement sucré , c'était écœurant alors naturellement je viens me plaindre!
ceci dis mes jolis posés votre artillerie!

- pourquoi?

- parce que nous n'allons pas vous laissez partir comme ca!

- qui c'est NOUS ? connard !

- smith, wesson et moi (baoum!)    

8)
 - vous connaissez le numéro de téléphone des urgences de l'hôpital général ?
- certainement!
- alors je vous conseil de leurs réclamer tout de suite une ambulance et du personnel, dites leurs qu'il y a ici deux sinistres connards souffrant de contusions multiples et de fractures aussi diverses que nombreuses!

9) une femme vulgaire et pas jolie dans un bar:
- alors chérie?! pose moi la question, j'ai envie de te dire oui!
Callahan:
- jamais avec les animaux!



1)
Père Karras : bonjour regan, je suis un ami de ta mere, il parait que je peux faire quelque chose pour toi.
Regan: vous pourriez déserrer ces sangles mon ami!
Père Karras  tu pourrais te blesser sans le vouloir regan
Regan  je n'suis pas regan!
karras : Alors faisons les présentations. Moi c'est Damien Karras.
Regan : Moi je suis le diable. veuillez desserrer ces sangles je vous prie!
Père Karras : Si tu es le diable, pourquoi ne pas te libérer toi-même ?
Regan : ce serait une maniere trop vulgaire de montrer mon pouvoir karras!
Regan : " (le démon prend alors la voix d'un sans abri que karras a vu quelques heures plus tôt)
- " vous auriez pas un peu d'argent mon père?...j'suis catholique!"
votre  mère est ici avec nous, Karras. vous voulez lui laisser un message. Je veillerai à ce qu'il lui parvienne.
 
2)
regan (elle produit un râle long et rocailleux):  excellente journée pour un exorcisme!
pere karras : ca te plairait?
regan: intensément!
pere karras: mais un exorcisme te chasserai de regan!
regan (ou plutôt le diable): ca nous rapprocherait au contraire
karras: de toi et regan?
regan: de toi et nous
(le tirroir de la commode à coté du père karras vient de s'ouvrir tout seul)
karras:  c'est toi qui a fait ca?
regan (d'une voix rauque et décharnée) : hein heinnnnnnnnnnnnn!
karras: refait le!
regan  en son temps
karras  non, tout de suite
regan  EN SON TEMPS!...Mirabile dictu, n'ai-je pas raison mon père?
karras  tu parles latin?
regan  ego te absolvo
karras   Quod nomen mihi est ?
regan  bonjourno!
karras  Quod nomen mihi est ?
regan  my taylor is rich....AH!AH!
karras  tu vas rester longtemps dans le corps de regan?
regan  jusqu'à ce qu'elle meurs et qu'on l'enterre dans sa puanteur!

(le père karras sort alors de sa poche un flacon d'eau bénite)

regan   qu'est-ce que c'est?
karras   de l'eau bénite
regan   ote ca de ma vue!




1)
Paul Volfoni : écoute, on te connait pas, mais laisse nous te dire que tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des "nervous breakdown" comme on dit de nos jours.

2)
Raoul Volfoni : Mais il connait pas Raoul ce mec, il va avoir un réveil pénible. J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter que le sang coule, mais maintenant c'est fini. Je vais le travailler en férocité, le faire marcher à coup de lattes ! A ma pogne je veux le voir ! Et je vous promet qu'il demandera pardon ! Et au garde à vous !

3)
Raoul Volfoni : Non mais t'as déjà vu ça?? En pleine paix, il chante et pis crac! un bourre-pif! Mais il est complètement fou ce mec ! Mais moi les dingues j'les soigne, j'm'en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j'vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quat' coins d'Paris qu'on va l'retrouver éparpillé par petits bouts façon puzzle... Moi quand on m'en fait trop j'correctionne plus, j'dynamite... j'disperse...j'ventile...

4)
Fernand Naudin : Patricia , mon petit... Je ne voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier, l'homme de la Pampa parfois rude reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menues .




1)
Caporal Keating : Chez un poids lourds normal, l’impact d’un coup de poing est d’à peu près 100k de pressions par cm². Comme vous le voyez, Drago a une force de frappe de 1850 livres soit 925k de pression. Le résultat saute au yeux.
Journaliste : Et quel est ce résultat ?
Caporal Keating : Ce que son poing rencontre, est détruit.

2)
Chauffeur Russe : C’est bien ce que vous vouliez, oui ?
Paulie : C’est toi qui a demandé cette cabane ?
Rocky : Oui.
Paulie : Mais pourquoi ? Si tu t’mets dans l’élevage de rennes tu l’dis merde....y'a même pas d'antenne télé, et comment je vais suivre le match moi hein?
et j'parie que le service doit être déplorable....j'vais faire une déprime moi, j'te préviens!

3)
Duke : Alors comment ça se passe d’après toi hein ?
Rocky : Il me dérouille. J’en vois trois comme lui.
Paulie : Vise en un et butte le.
Duke : Mais oui ! Vise en un et butte le !

4)
paulie: c'est ca la russie? c'est plutot froid hein!

5)
Caporal Keating : Ils boxeront en Union Soviétique ou ils ne boxeront nulle part. Demandez à Drago ou mieux à sa femme pourquoi elle a peur. Dites leur je vous pris.
Ludmilla : J’ai les plus grandes craintes pour la vie d’Ivan, nous redoutons la violence et les menaces. Nous ne faisons pas de politique, ce que je veux c’est que mon mari ne risque pas sa vie, nous voulons la justice. Vous le traitez de tueur, c’est un professionnel de la boxe et non un tueur. Vous avez l’intime conviction d’être mieux que nous, vous avez l’intime conviction que votre pays a le monopole du cœur, et nous le monopole du mal. Vous avez l’intime conviction d’incarner la bonté et vous nous croyez cruel.
Caporal Keating : Et bien tout ça c’est de la fausse propagande qui aide beaucoup l’antagonisme et la violence de votre peuple.
Paulie : Oh, la violence ? C’est quand même pas mon peuple qui a battis le mur de Berlin, nan ?
Caporal Keating : Qui êtes vous ?
Paulie : Qui ça moi ? Je suis de la majorité non silencieuse, Popov !
Ensemble de journaliste : Hahahahaha !
Caporal Keating : Bien, oui je note que vous nous insultez. C’est bien typique de votre comportement envers les visiteurs de l’étranger, mais peut être bien que la simple défaite de votre grotesque soit disant Champion, sera la parfaite illustration de la pathétique faiblesse d’une société de capital ! Nous partons.

6)
(paulie parlant du russe qui vient de les accueillir à l'aéroport)

- il fait très cousin de Dracula tu trouves pas?



1)
Sergent Hartman : Je suis le sergent d'armement Hartman et votre chef instructeur. A partir d'aujourd'hui, vous ne parlerez que quand on vous parlera et les premiers et derniers mots qui sortiront de votre sale gueule, ce sera "Chef" tas de punaises ! Est-ce bien clair ?!
Tous les soldats : Chef, oui, Chef !
Sergent Hartman : Mon cul, je n'entend rien ! Montrez-moi que vous en avez une paire !
Tous les soldats : Chef, oui, Chef !
Sergent Hartman : Si vous ressortez de chez moi, les louloutes, si vous survivez à mon instruction, vous deviendrez une arme, vous deviendrez un prêtre de la mort implorant la guerre ! Mais en attendant ce moment-là, vous êtes du vomi, vous êtes le niveau 0 de la vie sur terre, vous n'êtes même pas humain, bande d'enfoirés ! Vous n'êtes que du branlomane végétatif, des paquets de merde d'amphibiens, de la chiasse ! Parce que je suis une peau de vache, vous me haïrez; mais plus vous me haïrez et mieux vous apprendrez ! Je suis vache mais je suis réglo ! Aucun sectarisme racial ici : je n'ai rien contre les négros, ritals, youpins ou métèques. Ici, vous n'êtes que des vrais connards et j'ai pour consigne de balancer toutes les couilles de loup qui n'ont pas la pointure pour servir ma chère unité ! Tas de punaises, est-ce que c'est clair ?!

2)
Sergent Hartman : Comment tu t'appelles, sac à foutre ?!
Brown : Chef, je m'appelle Brown, Chef !
Sergent Hartman : Mon cul ! A partir de maintenant, tu t'appelles Blanche-neige ! Est-ce que ça te plaît, ce nom-là ?!
Brown : Chef, oui, Chef !
Sergent Hartman : Bon, y a quand même un truc que tu vas pas tellement aimer, Blanche-neige : on te servira pas ton poulet frit et tes pastèques quand tu viendras bouffer à la cantine !
Brown : Chef, oui, Chef !
Guignol [tout bas] : Est-ce que c’est toi, John Wayne, ou est ce que c’est moi ?
Sergent Hartman : Qui a dit ça ? Qui est le tordu qui a dit ça ? Qui est l’infect petit poil perdu, l’espèce d’enculé de communiste qui vient de signer son arrêt de mort ? … C’est personne hein ? C’est votre marraine de mes couilles, hey ? Ah foutre de foutre, vous me ferez du parcours à en crever la gueule ouverte !! Vous me ferez du parcours à en téter du p’tit lait par le fion… [empoignant Cowboy] Alors ça vient de toi, charogne de p’tit salopard ?!
Cowboy : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : Espèce de paquet de merde, t’as une chienne gueule de vermine, bien sûr que c’est toi!
Cowboy : Chef, non, chef !
Guignol : Chef, c’est moi, chef !
Sergent Hartman : Putain, putain de nom de dieu ! qui c’est ce zigoto ? Un p’tit comique, hein, l’engagé guignol ? Je t’admire, j’adore ton honnêteté. Tu sais que je t’aime bien ? Tu viens chez moi quand tu veux et tu baises ma frangine ? [il frappe Guignol] Espèce de sac à foutre ! J’ai noté ton nom, tu vas roter du sang, défense de rire et défense de pleurer ! Je vais te mettre au pas moi, je vais te dresser ! Relève-toi, aller nom de dieu debout ! Sors de ta connerie sacré bon dieu, sinon moi j’te dévisse la tête et je te chie dans le cou !

3)
Sergent Hartman : Combien tu mesures 2ème pompe ?!
Cowboy : Chef, 1m75, chef !
Sergent Hartman : 1m75 ! Jamais vu un tas de merde aussi haut que ça ! Tu m’entuberais pas de 2 cm quelque part ?!
Cowboy : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : Mon cul ! Je savais bien que ce que tu avais mieux a coulé de la fente de ta maman chérie et fini en flaque marron sur son matelas pourri ! T’es une vraie chiure toi !! D'ailleurs tu viens de quel bled paumé, 2ème pompe ?!
Cowboy : Chef, du Texas, chef !
Sergent Hartman : Ah parole de Dieu, Texas, y a que les taureaux et les pédés qui viennent du Texas, mon p’tit cow-boy ! Vu que t’es pas très taureau sur les bords, tu serais donc de l’autre bord ? Tu suces des noeuds ?!
Cowboy : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : Tu serais pas pompeur de pafs ?
Cowboy : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : Je parierais que tu es du genre à enfiler un mec jusqu’au trognon sans avoir l’élémentaire politesse de lui manipuler gentiment le petit frère ! J’te préviens, je t’ais à l’œil ! [allant vers Baleine] Et toi ! Tes parents ont eu des enfants viables ?

4)
Sergent Hartman : Ils doivent s’en mordre les doigts les pauvres ! T’es si tocard que tu passerais pour un chef d’oeuvre de l’art moderne ! C’est quoi ton nom gros poussah ?!
Baleine : Chef, Leonard Lawrence, chef
Sergent Hartman : Lawrence, Lawrence quoi, Lawrence d’Arabie ?!
Baleine : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : Tu serais pas un p’tit peu royal ?! Tu serais pas de sang royal ?!
Baleine : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : T’es un suceur de noeuds ?
Baleine : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : Mon cul ! J’te parie que t’es capable de pomper une balle de golf à travers un tuyau d’arrosage !
Baleine : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : J’ai horreur qu’on s’appelle Lawrence ! Y a que les pédés et les marins qui s’appellent Lawrence. A partir de maintenant, tu t’appelles Grosse Baleine !
Baleine : Chef, oui, chef !
Sergent Hartman : Tu trouves que je suis mignon, mon p’tit Baleine, tu trouves que je suis marrant ?
Baleine : Chef, non, chef !
Sergent Hartman : Alors tu vas m’effacer ce sourire de bêta de ta figure ! [Baleine n'y arrive pas] Mais surtout tu prends ton temps ! Hein mon canard !
Baleine : Chef, je m’applique, chef !
Sergent Hartman : Engagé volontaire Baleine, je te file 3 secondes, tu entends exactement 3 secondes pour effacer ce putain de sourire de ta gueule de con ou je te fais gicler les yeux des orbites et je t’empaffe le crâne ! Une, deux, trois !


5)
Sergent Hartman : Dieu, là haut, bande pour les marines ! Parce que nous tuons ce que nous voyons. Il fait ses affaires, nous faisons les nôtres. Nous, pour le remercier de nous offrir un tel pouvoir, nous approvisionnons son paradis en âmes fraiches. Dieu existait avant que les marines soient là. Vous pouvez donc donner votre coeur à Jésus ! Mais votre cul, lui, appartient à votre unité



1)
Forrest Gump : Bonjour. Je m'appelle Forrest, Forrest Gump. Vous voulez un chocolat ? J’crois que j'pourrais en manger un million et demi. Maman disais toujours : la vie c'est comme une boite de chocolat, on sait jamais sur quoi on va tomber.


2)
La mère de Forrest : Surtout ne laisse personne te dire qu'il est mieux que toi, Forrest. Si Dieu avait voulu que tout le monde se ressemble, il nous aurait mis à tous des armatures sur les jambes !

3)
Bubba : T'es déjà monté sur un crevettier ?
Forrest Gump : Non mais je suis déjà monté sur plein d'autres d’arbres.

4)
Forrest Gump : Lieutenant Dan ! Mais qu'est ce que vous faites ici ?
Lieutenant Dan : Bah, j'ai eu envi de savoir si j'avais le pied marin.
Forrest Gump : Mais vous n'avez plus de pied lieutenant Dan.
Lieutenant Dan : Oui ça je sais.


5)
Je ne sais pas si c'est maman qui avait raison ou si c'est le lieutenant Dan... Je sais pas si nous avons chacun un destin... ou si nous... si nous nous laissons porter par le hasard comme sur une brise... Mais je... Je crois que c'est peut être un peu des deux... Peut être un peu des deux arrive en même temps.

6)  - tu es stupide ou quoi?
  - n'est stupide que la stupidité madame.



1)
Hôtesse : Vous voudrez autre chose quand nous aurons décollé ?
Castor Troy : Hoooo un abricot... assit assit. [l'hôtesse s'assois sur ses genoux] j'adore sucer un abricot pendant des heures... Approche [l'hôtesse l'approche]. Si je voulais t'envoyer des fleurs, où est-ce que je dois... hé hé non attend c'est pas ce que je veux dire, si j'avais envi là tout de suite que tu suces ma langue, tu accepterais de le faire ?

2)
Castor Troy (au téléphone) : La's c'est moi. Ecoute moi ! Quelqu'un a... Ils ont... Ils ont échangé mon vi... contre... cet 'culé ! kt kt Mais c'est su'er... on va sauter sur l'occase ah ah ahaaaaa. Oh oui on va sauter sur l'occase !

3)
Castor Troy [Version Sean Archer] : Ouuuuuuuuui s'qu'il est joli ! Et sexy ! On dirait que c'est un miroir sauf que... y'a rien.
Sean Archer [VCT] : Troy ?
Castor Troy [VSA] : Oui alors que ce soit clair ça reste entre nous. D'accord.
Sean Archer [VCT] : Mais tu étais...
Castor Troy [VSA] : Dans le coma ? Tu sais se faire arracher le visage y'a rien de tel pour troubler votre sommeil. T’as lu les journaux ces temps ci ?
Sean Archer [VCT] : Tu... tu les as tué...
Castor Troy [VSA] : Oh c'est mieux que de payer la facture ! Mets toi à ma place rien qu'un petit lifting ça coûte déjà 5000$. Et ce truc là ça te dit rien ? [il lui montre son alliance]
Sean Archer [VCT] : Tito...
Castor Troy [VSA] : Bien entendu j'ai brûlé tout ce qui pouvait prouver que tu es toi. Donc du coup waouh t'es bon pour rester en tôle... JUSQU'A LA FIN D'TES JOUREUH !!! Bon ! Il faut vraiment que je me sauve : j'ai un poste important à usurper [et chuchoté dans son oreille] Et une femme solitaire à baiser....ouh ouuh! qu'est ce que je dis!!! à qui je dois faire l'amour?!


4)
Castor Troy [VSA] : Tu vois, t'es pas le seul à avoir un cerveau dans la famille.
Pollux Troy : C'est vrai, mais maintenant je suis le seul à avoir une belle gueule.
Castor Troy [VSA] : Touché.

5)
Castor Troy [VSA] : Ahhhh... J'avoue que je ne saurais pas dire ce que j'ai le plus de mal à supporter... Ton visage ou bien ton corps. Je reconnais que j'adore bourrer ta femme mais, il faut voir les choses en face, toi comme moi, c'est sûr qu'on préfère comme c'était avant. Si on échangeait ?
Sean Archer [VSA] : Tu ne me rendras jamais ce que tu m'as pris.
Castor Troy [VCT] : Alors dans ce cas, plan B, on a qu'à s'entretuer




1)
Stanislas : Qu'est-ce que vous cherchez ? Toujours votre anglais ?! C'est pas moi ?!
Commandant allemand: nein.
Stanislas : C'est pas lui ?!
Commandant allemand: nein
Stanislas : Venez avec moi, allez venez ! [il ouvre une armoire] il est pas là ?!
Commandant allemand: Gut [Stanislas en ouvre une autre] je vois c'est bien.
Stanislas : Tenez venez voir [il ouvre le piano ] il est pas là ?
[...]
Stanislas : Tenez venez voir par ici, là il est pas là non ? [il écarte un rideau] bon là qu'est-ce qu'il y a ? Bon là il est plus là...Et là regardez, qu'est-ce qu'il y a là ? [il ouvre le tiroir où il y a le parachute de l'anglais]
Commandant allemand: Permettez ! [il ouvre un autre tiroir rempli de nourriture] Arzo, marché noir...
Stanislas : Euh non c'est pour l'entracte, c'est pour l'entracte, j'ai toujours faim, alors j'ai l'estomac qui...alors il faut que je mange. Petites provisions
Commandant Allemand : Grosse filou
Stanislas : Nooooooon, petit filou

2)
Stanislas : If I go to the Turkish Bath, I risk… I risk énormément
McIntosh : Yes.
Stanislas : But, if you, you go out, si vous sortez, the germans, les allemands, ils vont vous attraper puis Crrrr, vous allez parler et moi I risk encore plus
McIntosh : Yes.
Stanislas : Donc I risk on the deux tableaux.
McIntosh : Yes.
Stanislas : Oui, mais enfin vous dites toujours yes
McIntosh : Yes.
Stanislas : Ben oui… Alors écoutez : do you promise me que if I bring ici the Big Moustache, you partez avec lui ?
McIntosh : Yes.
Stanislas : Mais définitivement ?
McIntosh : Yes.
Stanislas : Bon… Alors , I accept to go to the Turkish Bath, I accept the Big Moustache, I accept tout.

3)
[la scène se déroule avec un accent français à faire avoir un infarctus à un irlandais hi!hi!]

Augustin
: Are you ?
Stanislas : You are ?
Augustin : Happy (enchanté)
Stanislas : Delighted (ravi)
 [...]
Stanislas : Where is big moustache ?
Augustin : I don't know, and if you don't know, I don't know.
Stanislas : I don't understand.
Augustin : You, You come with me to pick up Peter.
Stanislas : Nan, you, you come with me to pick up Mc Intosh
Augustin : Non, non, non, you ! And if you don't come, I...ah merde alors comment on dit ?
Stanislas : Comment ça "merde alors" ? But alors you are french ?!
Augustin : You are not english ?
Stanislas : Non !


4)
Augustin : Evidement c'est pas des chaussures pour la marche que vous avez là.
Stanislas : Puisque vous me le proposez si gentiment, j'accepte.
Augustin : Quoi ?
Stanislas : Que vous me prêtiez vous souliers.
Augustin : Vous chaussez du combien ?
Stanislas : C'est du comme vous !

5)
Augustin : En tout cas ils peuvent me tuer je ne parlerai pas !
Stanislas : Mais moi non plus ! Ils peuvent vous tuer je ne parlerai pas !
Augustin : Je savais qu'on pouvait compter sur vous.

6)
Commandant allemand : De moi vous osez vous foutez ? Je sais qu'il nous manque deux aviateurs anglais !
Stanislas : Combien ?
Commandant allemand : Deux !
Augustin : Oh ça fait pas tellement...



1)
Bernard : Parce que Claude François c'est quoi ? Claude François c'est de l'émotion ! Claude François c'est de la poésie, voilà ce que c'est Claude !
Le journaliste : La poésie c'est plutôt Brassens non ?
Bernard : Qu'est ce que tu m'emmerdes avec Brassens toi ? Hein ? L'autre moustache qui fait rimer couille avec nouille ! [en chantant] J'ai perdu ma couille au fond du ravin !

2)
Bernard [en parlant du chien de Jacqueline] : On a pas idée d'appeler son chien My Way ! Comme d'habitude je peux comprendre mais My Way c'est de la diffamation ! Faut respecter l'exception culturelle Couscous ! The Culturel exception !

3)
Couscous : Bon on va manger ?
Bernard : Tain mais tu t'arrètes jamais tu viens de t'enfiler un sceau de frites ! C'est pas possible t'as le ténia ou quoi ?

4)
Bernard [aux Bernardettes] : Faut que vous sachiez une chose les filles, que quand les Delpèche, les Dave, Les Sardou rentraient de boite de nuit pétés comme des coins, Claude, dès potron minet, il était ici et il Yoggait !

5)
Bernard [au serveur du restaurant] : Qu'est ce qu'il y a pauvre merde ? Hein ? Tu crois que tu m'impressionnes avec ta barbac de nain là ? Hein tu crois que Bernard Frédéric a les yeux plus gros que le ventre ? Bah c'est mal connaitre Bernard Frédéric ! Hein qu'est ce que vous regardez ? J'ai une queue de dragon au cul ? Non alors retour assiette !

6)
Bernard : J'peux vous dire que Johnny Hallyday au stade de France à coté, c'est un playmobil dans un évier !

7)
[Véro découvre Bernard et Vanessa dans la baignoire]

Bernard : Véro ! Ça va ? Tu vas pas me croire on était... On était en train de répéter un... Bon Ok j'ai une maitresse et alors ? On va pas en chier une pendule hein ? Tous les grands de ce monde ont une maitresse. Hein Bill Clinton il a une maitresse ! Mick Jagger il a une maitresse. Napoléon... Maitresse ! Même Claude avait une maitresse !
Véro : Pauvre con !
Bernard : Arrête Véro c'est mesquin ce que tu es en train de dire, mais qu'est ce que tu espérais ? Une petite vie étriquée avec un mari sans maitresse ? Tu mérites mieux que ça mon ange !

8)
Bernard [aux juges] : Quoi il faudrait que je fasses un CAP Cloclo pour animer la foire au boudin à Auchan ?!


1)
(Adolfo Ramirez dessinant des croix gamées devant l'opéra)
André Bourdelle : Eh bien, mon ami, au moins vous ne cachez pas votre sympathie, vous. L'ancien concierge était beaucoup moins franc, ha.
Bernadette Bourdelle: Et c'est vous qui fournissez la peinture, Mr Ramirez?
(Renversant le pot de peinture sur Adolfo Ramirez)
Bernadette Bourdelle : De la part de De Gaulle.
(Adolfo Ramirez regardant ses chaussures pleines de peinture blanche).
Mamina : Excusez-nous, mais quand on est énervé , ça soulage.
Adolfo Ramirez : Oh la salope. MAIS RABATTEZ VOTRE CAQUET, LES BOURDELLE. MAIS FOUTEZ-LE CAMP, VIRTUOSES DE MES DEUX, VIVE PETAIN. D'ABORD MOI JE SUIS POUR LA GRANDE ALLEMAGNE. L'EUROPE, LA GROSSE EUROPE. HEIL HITLER! SALOPERIES!
(Adolfo marchant dans sa peinture en laissant des traces pendant que la famille Bourdelle démarre en voiture, le laissant en plan.)
Adolfo Ramirez : ESPECES DE GROS BOURGEOIS, VOUS VOUS PRENEZ POUR QUI? MEFIEZ-VOUS! ON SE RETROUVERA!

2)
Mamina (au téléphone avec son impresario): Non Jean, n’insistez pas… Non André ne dirigera aucun orchestre tant qu’il y aura un allemand sur le sol français, c’est clair non ? Mais oui Jean vous êtes un bon impresario, la question n’est pas là.
André Bourdelle : Non, c’est une question de patriotisme. Vous êtes bouchez à l’émeri ou quoi ?
Mamina : Non … Ecoutez Jean… Déjà, en 34, à Milan, nous avons refusez de jouer devant les facistes. Et si le compte Ciano, ne s’était pas traîné à mes pieds…À nos pieds…lors de cette réception…
André : Ne nous saoule pas avec tes souvenirs ! Dis-lui non franchement.
Mamina : Mais non, nous jouerons plus tard dans 6 mois, écoutez nous verrons bien Jean, mais non l’argent n’est pas tout, nous nous débrouillerons. Et bien nous louerons les chambres, c’est immense ici ! Et nous vendrons la Rolls il nous restera toujours la Talbot de Papy. C’est ça, au revoir Jean.
André : Il l’a mal prit ?
Mamina : Ba mets toi à sa place. Il perd sa commission.
André : Pas une raison pour faire toutes ses concessions.

3)
Michel : Ecoutez, en deux ans j’ai déjà changé 3 fois de chambre ! Nan mais plus on se connaît plus on s’apprecie et plus ma chambre rapetisse ! Non je ne peux pas accepter de dormir n’importe où.
Mamina : Regardez michel on a tout arrangé. Regardez comme c’est charmant. Il y a même ceci (elle montre un pot de chambre) et vous n’aurez pas a vous déranger la nuit.
Michel : Merci Mamina, mais c’est tout de même un peu précaire.
Mamina : Mais pas du tout, les domestiques ont habités ici jusqu’à l’année derniere, et ils étaient ravis !


4)
Guy-hubert : Ce n’est pas la peine de vous fatiguer, on ne logera pas un général dans une petite chambre sans cabinet de toilette. Ce sont les allemands les vainqueurs, je vous le rappel. Alors y a qu’à ramener les affaires de Michel.
Mamina : Oui, mais mon chéri il n’ y a pas d’autre endroit, c’est ici ou nulle part. Personne ne dormira dans la chambre de ton père. Et on ne roule pas les yeux !
Colette : C’est très vulgaire!
Bernadette : Si tu tiens tellement à loger des bosch, tu n’as qua leur offrir ta chambre à toi, michel te cedera volontiers sa place dans les combles !
Michel : Avec plaisir, parce que je te rappelle que mon loyer est quand même passé à 1200F par mois, c’est un peu cher pour une sous-pente.
Guy-Hubert : Cretinus ! Mais il nous jette ses 1 200 Francs à la face ! Mais tu crois que c’est qui qui fait vivre la famille à la sueur de ses mains en faisant des teintures à des vieilles rombières ? Alors tes leçons de morale, permet moi de te dire, je m’asseois dessus !

5)
Guy-Hubert : Mais enfin papy, on ne va pas scier tous les meubles en deux ! Moi je vous previens je ne dors pas dans une moitié de lit !
Papy : Silence le collabo ! J’ai dis les femmes d’un coté et les hommes de l’autre ! Alors tu n’es pas là !

6)
Papy : Ah nan nan nan ! Je ne laisserais pas une femme conduire ma voiture ! La derniere fois, vous m’avez déjà zigouisser une portière !
Mamina : Papyyy ! C’etait il y a 4 ans ! (ils entrent dans le garage et voient l’anglais) Papy, regardez, il est évanouie!
Papy : Quel balot ! Allez, on va le remettre dans la malle.

7)
Kluglicht : Monsieur Bourdelle voulez vous venir par izi, bitte! (ils vont dans le jardin) Vas ist dast ?
Papy : Des topinambours, c’est évident.
Kluglicht : C’est du tabac ! Vous me prenez pour oune idiote ?! C’est interdit ! Verbotten !
Papy : J’en vend pas, c’est personnel...
Kluglicht pietinant les topinambours : Hmm ! Scheisse France !! Grrrr grrrrr !!
Général : Que se passe-t-il encore Kluglicht ?!
Papy : Ah général, vous tombez bien, monsieur Gluk est en train de piétiner mes plates bandes.
Kluglicht : It is tabac ! Erg Général !!
Général : Assez de zèle imbécile va fumer dans la cours !
Papy : Voyez vous l’avez énervé avec toutes les responsabilité qu’il a ! vous êtes pas fin vous les allemands ! Hein. Je dis pas ça pour vous hein général !

8)
(Super-Résistant sauve une cinquantaine de personnes de la fusillade)
Super-Résistant : Et voilà le travail, et n'oubliez pas que c'est super resistant qui vous a délivré ! Il va d'ailleurs passer parmi vous avec un chapeau, soyez généreux pensez a vos camarades moins chanceux ! C'est pour la france merci d'avance ! (Il descend de voiture) allez hop, passe moi les chapeaux !
Henrique : Y 'en a pas !
Super-Résistant : Comment ça y a pas de chapeaux ? On passe pour quoi là ?
Henrique : Mais y a des troncs !
Super-Résistant : Ah tu m'a l'air degourdis toi !
( tout le monde s'en va, il n ya plus personne dans le hangar)
Super-Résistant : Pff, et voilà, dès qu'on parle de pognon, y a pu personne ! pff, je rentre chez moi !

9)
Maréchal Von Apfelstrudel à table : Et bien quoi ? On ne mange pas ? Vous manquez d'appétit ? Argh ce n'est pas en se déprimant que l'on résoud les problèmes, il faudrait être optimiste ! Vous n'etes pas d'accord Madame Bidelle ?
Mamina : Euh Bourdelle, Helena Bourdelle je vous pries.
Maréchal Von Apfelstrudel : Ah ya, je m'excuse, ahah.. Je vais vous appeler Boubou ça évitera des erreurs regrétables, je déteste écorcher les noms. D'ailleurs, je déteste tout, Madame euh, Bou. Vous savez, lorsque l'on a échappé à 28 attentats, comme moi, on devient un peu .. AIGRE!
Mamina : On ne peut pas rester amère toute sa vie Maréchal.  Il faut s'épanouir.
Maréchal Von Apfelstrudel : C'est exactement ce que je disais a notre Furher avant hier. Il fautra bien que un jour que tu souries a force de faire la tête, tu finiras dans un BUNKER ! Flambé comme une saucisse de Francforte !


1)
Red [narrateur] : Et c'est comme ça que c'est arrivé, jusqu'au dernier jour de ce travail, l'équipe qui goudronnait le toit de l'atelier au printemps 1949, faisait une pause vers les 10H du matin, pour boire une bonne bière Allemande bien fraîche, grâce au plus dur de tous les matons, qui ait dirigé une équipe à la prison de Shawshank.
Hadley : Buvez la tant qu'elle est fraîche les filles.
Red [narrateur] : Ce colossal connard s'arrangeait même pour paraître magnanime. On s'asseyait pour boire, le soleil sur les épaules, et on se sentait comme libre. On aurait pu goudronner le toit se nos propres maisons. Nous étions les seigneurs de la création. Quant à Andy, il passait sa pause accroupi à l'ombre, Un étrange petit sourire à la bouche, en nous regardant siffler nos bières.
Heywood : Hé t'en veux une fraîche Andy ?
Andy : Non, merci j'ai cessé de boire.
Red [narrateur] : Vous pourriez me dire qu'il a fait tout ça pour s'attirer la faveur des gardiens ou peut être pour ce faire des amis parmi les détenus. Moi je crois, qu'il l'a fait juste pour ce sentir à nouveau normal.

2)
Heywood : Hey les gars ! J'en ai une ! J'en ai une regardez !
Un prisonnier : Heywood c'est pas de la saponite. C'est pas non plus de l'albatre.
Heywood : Non mais qu'est ce que t'es toi putain ! Géologue ?
Un autre prisonnier : Non mais il a raison ! C'est pas de la pierre !
Heywood : Ben alors qu'est-ce que c'est ?
Red : Une crotte de cheval.
Heywood : Merde de merde !
Red : Non, merde de cheval... pétrifiée.

3)
Red : Je ne sais pas ce que ces deux Italiennes étaient en train de chanter, à dire vrai je veux pas le savoir. Vaut mieux pas dire certaines choses. Je crois que c'était quelque chose de si beau que ça ne peut pas s'exprimer avec des mots. Et c'est pour ça que votre coeur en souffre. Ces voix s'élevaient plus haut et plus loin qu'aucun prisonnier n’aurait pu rêver. C'était comme un oiseau merveilleux qui venait voleter dans nos cages. On ne voyait plus les murs, et pendant ces courts instants, chaque homme de Shawshank s'est senti libre.

4)
[classement de bouquins pour la bibliothèque]
Heywood : "L'île au trésor"... Robert Louis...
Andy : Stevenson. Fiction, aventure. Qu'est ce qu'il y a d'autre ?
Red : Moi j'ai là... "Comment réparer son auto" et "La sculpture sur savon"
Andy : Bricolage et Hobby ça va au rayon éducatif, juste derrière toi.
Heywood : "Comte de Monté-Crisco"
Un prisonnier : C'est "Cristo" imbécile heureux !
[Red se marre]
Heywood : D'Alexandrie Du-masss... Du-mak.
[Red rigole de plus belle]
Andy : Dumak ? Dumas. Tu sais de quoi ça parle ? [Heywood fait non] Une des plus belles évasions de prison.
Red [serieux] : Il faut le ranger aussi au rayon éducatif ! Pas vrai ?


5)
Warden : Je pense que tu as entendu. Terrible chose. Un homme si jeune, qui tente de s'évader à moins d'un an de la libération. Affreux pour le capitaine Hadley de lui tirer dessus. Sincèrement. [soupir]. Nous devons vite oublier ce malheur. Aller de l'avant.
Andy : Non, moi j'arrête. Je ne vous aiderai plus. Trouvez quelqu'un d'autre pour vos combines.
Warden : Tu n'arrêtes rien. Rien. Ou tu auras la détention la plus dure qui soit. Plus aucune protection de la part des gardiens, je te vire de ta cellule style chambre du Hilton, et je t'envoie dormir avec les sodomites. Tu auras l'impression d'être baisé par un train. Quand à ta bibliothèque, finie, murée, briques par briques. Nous ferons un petit barbecue de bouquins dans la cour, on verra les flammes à des kilomètres, nous danserons autour de ce feu de joie comme des indiens. Tu me comprends ? Est ce que tu vois ce que je veux dire ? Ou tu me trouves trop obtu ? [Il se lève puis s'adressant au gardien] Donnez lui un mois de plus pour réfléchir.

6)
Andy :
Je crois que tout se résume à un simple choix en réalité. Dépêche toi de vivre... Ou dépêche toi de mourir

7)
Red [narrateur] : La première nuit est la plus dure sans aucun doute [...] Et quand on vous fout dans cette cellule et que ces barreaux se referment sur vous, là vous savez que c'est pour de bon. Une vie entière jetée aux ordures en un clin d'oeil. Il ne vous reste rien d'autre que tout le temps du monde pour y réfléchir.

8)
Andy : Tu sais ce qui est drôle c'est que... A l'extérieur j'étais un homme honnête, aussi droit qu'une flèche. J'ai du être prisonnier pour devenir un escroc.

9)
Membre de la commission : D'après votre dossier vous avez fait 40 ans de votre perpétuité. Pensez vous être réhabilité ?
Red : Réhabilité ? Voyons que j'réfléchisse... Je crois que je n'ai aucune idée de ce que ça veut dire.
Membre de la commission : Hé bien ça veux dire que vous êtes prêt à retourner dans la société.
Red : J'sais pas ce que ça veut dire "être prêt" mon garçon. Pour moi c'est une simple formule. Un beau discours de politicien pour que... Pour que des gamins dans votre genre portent des costumes cravates et... Et ne soient pas au chômage. Que voulez vous savoir exactement ? Si je regrette ce que j'ai fait ?
Membre de la commission : Vous regrettez ?
Red : Il n'y a pas un seul jour qui passe sans que j'éprouve des regrets. Pas parce que vous me le demandez que je devrais en avoir mais parce que... Je repense à l'époque où j'étais dehors. Où j'étais... Un gamin idiot qui a commit un horrible crime. Je voudrais lui parler. Je voudrais essayer de lui faire entendre raison. Lui expliquer comment sont les choses. Mais j'peux pas. Ce gosse est mort il y a longtemps. Il ne reste plus que ce vieux bonhomme... Je devrais vivre avec ça. Réhabilité ? Un mot qui veut rien dire. Alors mon garçon mettez tous vos tampons sur vos formulaires et ne me faites pas perdre mon temps. Parce que pour vous dire la vérité... J'en ai rien à foutre.

10)
Andy : avez-vous confiance en votre femme monsieur Hadley?
Hadley : très amusant, mais tu seras encore plus amusant à me sucer la bite quand tu n'auras plus de dents!

11)
bogs : maintenant, je vais ouvrir ma braguette, et tu vas avaler ce que je te donnerai à avaler, et après tu t'occuperas de celui de Rouster, tu lui as pèter le nez alors je crois que tu lui dois bien une petite gâterie!
Andy : tout ce que tu mettras dans ma bouche tu le perdras.
bogs : si tu fais ca je t'enfonce ces vingt centimètres d'acier dans l'oreille!
il faut que tu saches que toute blessure grave au cerveau déclenche le réflexe de mordre très fort, il parait que ce genre de blessure est si grave que pour ouvrir la bouche de la victime il faut un pied de biche.
bogs : où t'as vu ces conneries?
Andy : je l'ai lu! est ce que tu sais lire, connard inculte?
bogs : chérie....tu devrais pas...(baoum! passage à tabac).



1)
 Indy : Le singe était-il vraiment indispensable ?
Marion : Je suis très déçue, Jones, de t'entendre qualifier de singe notre fils unique. D'autant plus qu'il a ta beauté.
Indy : Et ta cervelle...

2)
Belloq : Où vais-je trouver un nouvel adversaire digne de moi, à ma hauteur ?
Indy : Visitez les égouts du coin...

3)
Indy : Vous voulez parler à Dieu? Alors allons lui parler ensemble, j'n'ai rien d'autre à faire ce matin...

4)
Belloq : Mais quelle fin digne de votre vocation mon cher, rendez-vous compte vous allez faire partie intégrante de ce site archéologique... Et qui sait, dans un millier d'années vous aussi peut-être, vaudrez quelque chose !
Indy : Waaahahahaaaa espèce de crapule !




1)
Indiana : Sa place est dans un musée !
Méchant collectionneur : La tienne aussi !

2)
Pr  Elsa Scheinder  : Professeur Jones ?
Indiana : Oui ?!
Elsa : Je savais que c'était vous. Vous avez les yeux de votre père.
Indiana : Et les oreilles de ma mère. Mais le reste vous appartient.
Elsa : Je crois que nous avons évoqué les meilleurs parties de votre anatomie.

3)
Henry Jones : Je suis navré aussi pour ta tête, mais je t'ai pris pour l'un d'eux.
Indiana : Voyons, eux ils passent par les portes.
Henry Jones : Ah, bonne observation.

4)
Indiana : N'y comptez pas trop, il a deux jours d'avance sur vous c'est plus qu'il ne lui en faut. (Marcus) Browdi a des amis dans chaque ville et village, d'ici jusqu'au Soudan, il parle une douzaine de langues, connais toutes les coutumes locales, il va se mêler à eux, disparaitre et vous ne le retrouverez jamais. Avec un peu de chance, il a déjà trouvé le Graal...
(enchainement sur Marcus perdu en pleine ville et demandant si quelqu'un parle sa langue).

5)
Indiana : Nous devons desserrer ces cordes. Nous devons retrouver Marcus avant les nazis.
Henry Jones : Tu as dit qu'il avait deux jours d'avance, qu'il allait se mêler à eux, disparaitre.
Indiana : Vous plaisantez ?! J'ai baratiné, vous connaissez Marcus, un jour il s'est perdu dans son propre musée.

6)
Henry Jones : Il me semble que ces gens essaient de nous tuer.
Indiana : JE SAIS PERE !
Henry Jones : C'est une nouvelle expérience pour moi.
Indiana : Moi ça m'arrive tout le temps.

7)
Elsa [embrasse Indy] : C'est comme ça que les autrichiennes disent adieu.
Nazi : Et voici comment on dit adieu en Allemagne professeur Jones.
[il lui met un pain]

8)
Nazi : Qu'est ce que ce journal vous dit qu'il ne nous dit pas ?
Henry : Ce qu'il me dit c'est que les abrutis de marcheurs au pas de l'oie que vous êtes devraient lire les livres au lieu de les brûler!



1)
Cash : Tu m'connais ?
Tango : Oui oui on dit que t'es le meilleur flic de Los Angeles.
Cash : C'est drôle on m'a dit la même chose de toi.
Tango : Dégage de mon enquête.
Cash : A parce que c'est ton enquête ?
Tango : J'suis dessus depuis trois mois, ça en fait mon enquête.
Cash : Oh ben ça prouve que tu es stupide parce que moi j'suis dessus depuis une demi-heure et qu'on en est au même point.
Tango : Tire toi de mon enquête.
Cash : Jolie cravate.

2)
Cash : Quand ce sera fini, fait moi penser s'il te plait à lui arracher la langue.
Tango : ... Avec une dépanneuse.

3)
Un policier :
On est arrivé, bienvenue au club merde

4)
Un criminel : Quand je sortirais d'ici, j'vais te déchirer la cicatrice.
Cash : Tu connais capitaine couille molle !
Tango : Ouiii !! Ouiiiii oh j'vous adorais dans Conan le barbare !

5)
Requin : Je vais te trancher ta putain de gorge, t'arracher la langue de son trou pour en faire un noeud papillon.
Cash : Je porte pas de cravate c'est lui.

6)
Conan : Ces poulets et ces p'tit copain m'on brisé les jambes, les cotes, la mâchoire !
Cash : T'as brisé cette mâchoire ?
Tango : ... Il le méritait !
Cash : Pourquoi t'as fait ça ?
Tango : Pourquoi ?
Cash : Ben oui pourquoi ?!
Tango : J'étais dans un mauvais jour.
Cash : Comme maintenant ?
Tango : Comme maintenant !
[x_x bourre pif]

7)
Tango : Allez j'vais te laisser. J'veux pas te mettre en danger.
Katherine : Mais de quoi tu parles ?
Tango : Oh je parle de toute la racaille et de la vermine que je fréquente.
[Cash arrive]
Cash : Bon alors me voilà.
Tango : Tu vois bien.

8)
Tango : Y'a une fête sur le toit.
Cash : J'peux inviter mon ami gueule-de-con ?
Tango : Bien sûr ! Y'a pas de fêtes sans gueules-de-con !



1)
Maréchal : J'ai jamais eu de pépin en voiture , sauf le jour où je vous ai rencontré ! Vous vous rappelez ?
Saroyan : Tu parles si j'm'en rappelle ! Andouille !

2)
Manucure : Les francais sont indiscrets !

Maréchal : Moins que votre soleil romain !

Saroyan : Et hop , il l'a emballé ! Alors moi , il m'épate , il m'épate , mais il m'épate !

3)
Saroyan : Ich bin ein freund , un ami , ein freund of Antoine Maréchal ! He ist en danger !! mm mm mm !! Verstehen sie

danger !! Si vous nicht intervenieren , Maréchal Kaputt !

Ursula : Das ist kann ich Möglich !

Saroyan : Ça je ne peut pas vous dire ! Because der mann , der beau garçon , ach !! ist ein salopard , ein gross salopard ..

qui veut barboter .. beg your pardon .. volieren la Cadillac ! ... Non je crois qu'elle a capito

4)
Maréchal : Allo ! Sa..Sa..Sa..Saroyan !

Saroyan : Ah ! Le bègue ! Qu'est ce que tu veux ??

Maréchal : Fifty Fifty !! Réfléchis ! un poco no ?

5)
Saroyan : Vous allez toucher la récompense de 100 Millions pour le Youkounkoun !

Maréchal : Alors , je suis pas si councoun que j'en ai l'air !

6)
Saroyan-  Mais qu'est-ce que je vais devenir, moi maintenant ?
Maréchal - Un piéton!


1)
Père Tarain : Regardez les enfants, ce, ce bel oiseau d’acier qui va se poser au ras des Buildings.
Jérôme : Ouai, super.
Rachid : Super !
Père Tarain : Super ! Super !

2)
Chinois : Mr Carco ?
Antoine : Nǐ hǎo mai.
Chinois : What ?
Antoine : Nǐ hǎo mai. A ben dao.
Chinois : What did you say, sir ? Lost luggage ?
Antoine : Non je dis, ni hǎooo mai.
Chinois : No, me not speak french.
Antoine (en geulant) : Nǐ hǎo mai !

3)
Antoine : My friend Yvan Radmilo, which hospital ?
Chinois : No hospital, the morgue.
Antoine : Morgue ? Déjà ? Merde. C’est vite fait hein. Death very quick, hein.
Chinois : Yes yes, murdered. Murdered, awful.  
Antoine : Awful, yes. Comment ça murdered ?!
Chinois : Crash by big truck against a wall. La Pince became pancake.
Antoine : Il a été assassiné ?
Chinois : Triades Chinese Mafia.
Antoine : Triades. You mean THE Triades ?
Chinois : Yes yes, we go see the kid.
Antoine : No ! No more kid, hein. No more kid. Là c’est trop charié, too much charié. Don’t take me pour un con.

4)
Antoine : Dis à Luna que le Père Pain va lui ramener son fils à l’avion de Hong Kong demain.
Père Tarain : Tsst. Tarain. Le Père Tarain. Pas le Père Pain, j’ai dis pain pour l’orthographe.

5)
Antoine : Il est rond, il est rond ce p’tit Bordeaux.
Père Tarain : Ah oui, tout à fait, tout à fait. Et ses cailles aux raisins ... mmm ... elles feraient croire en Dieu.

6)
Antoine : Sortez donc votre agenda pour qu’on prenne rendez vous.
Père Tarain : Je m’en suis débarrassé mais ce n’est pas grave, j’ai une mémoire d’éléphant.
Antoine : Vous vous êtes débarrassé de votre agenda ?! Le gros agenda en cuir que j’ai vu à l’aéroport, vous vous en êtes débarrassé ?! Celui avec une grosse tête de Sainte Vierge dessiné dessus, vous ne l’avez plus ?!
Père Tarain : Une grosse tête de Sainte Vierge ? Pas du tout, mais j’ai jamais eu un agenda avec une grosse tête de Sainte Vierge.
Antoine : Ba je l’ai vu ! Je l’ai vu !
Père Tarain : Pas du tout.
Antoine : Mais je l’ai vu ! Je ne suis pas fou, je l’ai vu !
Père Tarain : Mais j’ai jamais eu une grosse tête de ... Ah ! Sainte Catherine de Sienne ! Vous confondez Sainte Catherine de Sienne avec la vierge Marie, pour un catholique vous me décevez. Et puis la Sainte Vierge n’a pas du tout une grosse tête.

7)
Mauvaise conscience : Ba vas-y, bouffe le ! T’as toujours adoré le Paris-Brest.
Père Tarain : Mais fiches moi la paix, tu perds ton temps !
Mauvaise conscience : Si il était aussi bon que celui que faisais Mamie Huguette. Hein ? Mais prends en au moins une petite bouchée ...Ça tu me le ...
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : Pour faire la comparaison.
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : En plus tu lui rends service.
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : Il est bourré de cholestérol.
Père Tarain : Chut.
Mauvaise conscience : Regarde oh, cette crème au beurre.
Père Tarain : Lâche ça !
Mauvaise conscience : Et ba maintenant que tu l’as bousillé tu ferais mieux de le manger.
Père Tarain : Ça tu me le ...
Antoine : Ah ! Bon j’ai eu le professeur hein. Il est d’accord pour la sortir demain à condition qu’on la prenne en charge. J’ai beaucoup insisté sur le faite que tu étais un curé.
Père Tarain : Tu as bien fais, tu as bien fais.
Antoine : Bon ba j’vais prendre mon Paris-Brest et puis on va à l’hotel.
Père Tarain : Non non non non ...
Antoine : Garçon ?
Père Tarain : C’est pas la peine, j’ai demandé pour toi mais ils m’ont répondu qu’ils étaient désolés mais que, ils avaient été obligés de donner le dernier à un habitué. Pas de chance. Bon allez j’ai, j’ai, on peut y aller d’ailleurs j’ai payé et puis ils vont fermer.
Antoine : Ah mais non ! Non non mais c’est des cons, assieds toi là, non mais je l’avais repéré en rentrant là ! Garçon ?! Mon Paris-Brest !
Père Tarain : Non non, n’en faite rien le garçon était tellement désolés, j’ai rien pu dire, il avait les larmes aux yeux.
Antoine : Quoi ?
Père Tarain : Bon allez, allons y, on est crevés. Et puis c’est pas dramatique.
Antoine : Oui ba d’accord mais enfin, moi j’reste sur ma faim là. Un repas sans dessert c’est comme un week-end sans gonzesse.

8)
Père Tarain : Il vaudrait mieux demander tout de suite à Madame Lili Wong si elle connaît l’adresse de son oncle. Et de toute façon il faudra bien lui dire que son mari n’est pas au mieu de sa forme.
Antoine : Mais putain t’es con ou quoi ?! Le spécialiste ! Vient de nous dire qu’elle ne pouvait pas supporter des choses comme ça.
Lili : J’en ai encaissé pas mal, vous savez j’vous ai pas attendu.
Père Tarain : Tu vois, elle est d’accord.
Antoine : Bon alors voilà, ton mari n’a pas eu un accident, il a été buté par la mafia, écrasé salement contre un mur ! Bao ne nous attends pas à la maison, il a été enlevé avec le frère de Monsieur. Voilà, la vérité toute nue ! La voilà ! Ça te va ?!
Père Tarain : Oh ! Mais quelle maladresse ! Tu es un balourd !